Difficile de proposer de la carte postale issue de la création figurative en ce début du XXI siecle encore imprégné de rejets de ce type d’arts plastiques orchestrés notamment en France pendant notamment la deuxième partie du 20s. L’enseignement des beaux arts n’en voulait plus et nous en réglons les conséquences par la présence unique de Combas isolé parmi les 500 peintres vivants les plus chers du monde. Mais la figuration revient en force il fallait simplement attendre. Nous avons pris le pari en 2009.
“La première édition fut lente a écouler avec un tirage quelque peu terne et des points de vente en dépôt, dubitatif, un FRAC absolument pas intéressé quant à notre collection et notre pari se frottantt à des cartes beaucoup plus grandes et en couleurs des deux côtés (quadri r/v) à 50cts d’euros. Du jamais vu même en métropole”
La rédaction.
La peinture acrylique ou huile à été le médium recherché avec des artistes comme Paul Eric Dammé auteur de l’image de cet article, Eric Gouazé, Aurélie Quentin, Roger Salucci, Miguel, Charly Lesquelin, Liva, Sig, et plus récemment Alain Ducros. La fresque murale avec Furic; les aquarelles de Florence Vitry et le pastel sec de Jean François privé.
L’ajout du street dans la collection
Jace nous a apporté le coup de pouce essentiel en 2012 pour introduire des présentoirs tournants dans les points de vente. Un tirage haut en couleurs et un papier haut de gamme ont servi de support à la première carte postale du Gouzou d’une série de 4, et d’autres visuels du célèbre grapheur, facilitent l’accueil sur les devants des points de ventes. A ce réseau, nous avons eu le renfort de Méo et deux graphs qui interpellent.
D’autres tirages ont vu le jour avec le célèbre personnage orangé. La collection survivait avec un investissement lourd en matériel.
Depuis le street reste en place avec d’autres artistes comme Yann Le Gall, Pandakroo, et Doris Drs.
A suivre
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